Blaise, entre rêve et réalité [Fini]

Prénom : Blaise

Nom : Thunder

Âge et date de naissance : 15 ans, né le 04 / 01 / 2006

Sexe : Masculin

Ville d'Origine : Winscor

Rang : Coordinateur

Appareil de communication : Vokit

Sur quel étage voudriez-vous votre chambre ?  4ème

Description de la chambre ou de la résidence :
Une chambre remplie de posters, de dessins crayonnés ou tagués ainsi que de montages-collages de tout ce qui lui passe par la tête. Son ordinateur portable est bardé de stickers, tout comme sa trousse, ses cahiers et, à vrai dire, toutes ses affaires de cours. Son étagère est remplie de mangas et on dénombre également quelques peluches ainsi que des figurines répandues par-ci par-là. Une ambiance musicale electro et chill remplit toujours l’atmosphère de la pièce lorsqu’il est présent.

Personnage sur l'avatar : Frey, Fisheye Placebo

Description Physique (5 Lignes Minimum) :
Chez Blaise, l’apparence rime toujours avec discrétion. Il porte principalement des vêtements sombre, légèrement colorés mais jamais clair. La plupart de sa garde robe est composée de sweats amples à capuche, pour lui permettre d’y camoufler sa tête à la première occasion ainsi que de jeans bleu nuit, voire noirs. Ses t-shirt ont toujours un motif de style street-art tagué ou tribal voire fantaisiste affichant des personnages d’anime et de manga. Il ne porte jamais de marque car ses parents n’ont pas les moyens. De toute façon il s’en fiche. Pour marcher il porte principalement des vans à dominante noir qui lui remonte au dessus des chevilles. Le maître-mot quand il s’habille c’est le confort avant tout. Le look street et décontracté lui convient très bien comme ça.

Du reste il est un poids plume. Ce n’est pas la graisse qui le gêne, ni même les muscles à vrai dire. Il pèse environ 60Kg et mesure 1m63. Bien sûr il a encore le temps de grandir, mais il doute dépasser un jour les 1m70 de son père. Il n’est pas du tout versé dans le sport, ce genre d’activité n’étant pas du tout prioritaire à ses yeux. Les traits de son visage sont fin. D’ailleurs ce n’est pas l’arrivée de la puberté qui semblent avoir raison de ce côté enfantin qu’il semble vouloir préserver également dans sa tête. Ses yeux pétillent d’un bleu azur tandis que sa chevelure à la teinte métallique en bataille lui donnent un air négligé, un peu freestyle. Il lui arrive de mettre du gel, mais l’occasion se prête rarement sachant qu’il a la flemme de passer du temps sur sa coiffure.

La nuit, lorsqu’il décide de sortir dans la rue sans se faire reconnaître il porte un foulard blanc qui le recouvre du nez jusqu’à la gorge. Avec la capuche rabattu on ne voit ainsi que ses yeux, et pour les dissimuler il porte des lunettes légèrement teintées de gris. Dans cet accoutrement nocturne il devient donc « Blazer » le tagueur artistique.

Caractère (5 Lignes Minimum) :
Blaise est assez simple à définir vu de l’extérieur. C’est quelqu’un de particulièrement calme et discret. Il est plutôt introverti et ne s’exprime donc principalement que lorsqu’on parle d’un sujet qui lui plaît. Il n’est pas très doué pour s’exprimer convenablement à l’oral. Vous pouvez y voir de la timidité, mais à vrai dire il est plus à l’aise pour exprimer ses sentiments à travers l’art, la musique et l’écriture. Il est difficile à cerner pour quiconque tente de l’aborder et d’apprendre à le connaître. Beaucoup de gens ont donc laissé tombé, car le trouvant inintéressant. Surtout que le comportement du bonhomme n’aide pas non plus. Il lui arrive de rêvasser, de penser à autre chose lorsque quelqu’un lui parle de quelque chose qui n’a pas attiré son attention, et par moment quand on lui demandera ce qu’il en pense, il se contentera de répondre « désolé j’ai pas suivi » et la personne en face ne peut qu’être exaspérée.

Tout ceci pour en venir à une description plus intime de l’individu. Blaise adore créer, c’est un gros rêveur au point qu’on l’a même surnommé le Sélénite, voire Mélo – pour ceux qui veulent lui donner un côté plus mignon – parce qu’à force d’être dans la lune on se demandait s’il n’en était pas vraiment originaire. Dans sa tête c’est un tourbillon d’images, de scénarios et de musiques. C’est d’ailleurs par moment très encombrant et il peut passer longtemps à imaginer quelque chose, sans rien faire d’autre. Il est ainsi souvent mené à coucher son imaginaire sur un support. Cette routine à fait qu’il préfère donc la plupart du temps rester dans sa chambre où il a son bureau et tous les outils nécessaire à ses activités. Cela fait de lui quelqu’un d’assez casanier. Cela ne l’empêche pas pour autant de sortir un peu se promener, quand il cherche l’inspiration ou juste changer d’air, mais ce n’est pas le genre d’adolescent à aller faire des sorties entre amis.

Blaise ne recherche pas beaucoup le contact avec les autres, mais au contraire il adore se trouver en compagnie des pokémon et aime bien passer du temps à s’occuper d’eux, à jouer avec. Il est également important de savoir que les amitiés qu’il s’est créée se sont principalement établies dans de longues relations de confiance. Le jeune homme reste donc malgré tout quelqu’un de fidèle, sur qui on peut compter.

Du reste, ses centres d’intérêt concernent principalement la culture populaire. Les jeux-vidéo, les animes, les mangas et la littérature de fantaisie et de science-fiction viennent établir l’univers dans lequel il baigne depuis tout petit. Il aime bien s’essayer à différents genres, expérimenter un peu tout et n’importe quoi, et reste quand même assez ouvert d’esprit.


Histoire (15 Lignes Minimum) :
J’aperçois une lueur dans l’obscurité. C’est déjà le matin ? J’ouvre alors un peu plus mes yeux et observe ma chambre dans cette douce pénombre. Je gigote un peu sous mes draps pour voir par dessus mon lit, là où se trouve l’endroit où Rainbow est censé dormir. Je vois alors deux yeux briller légèrement grâce à la lueur faiblarde du jour. La ponyta régionale était déjà réveillée, toujours couchée sur sa couverture matelassée, mais la tête levée, suivant mes faits et gestes. Elle attendait sans doute le moment pour qu’on se lève ensemble. Je vérifiais ensuite l’heure sur mon réveil, il était déjà 8h passé. J’entendis alors des bruits de pas dans le couloir et me réfugiais de nouveau in extremis sous mes draps. La porte s’ouvrit, d’autre bruit de pas sur le parquet de ma chambre, des rideaux qu’on tire et la lumière entre encore plus dans ma chambre. Finalement la tendre voix de ma mère se fait entendre.

« Allez Bibou, il faut que tu prépares tes affaires. »

Je grogne faiblement tout en gesticulant sous ma couette. J’avais encore envie de dormir. Ou peut-être juste de paresser en fait.

« Ton train part pour 11h, c’est Papa qui va te mener à la gare. Ne traîne pas trop d’accord ? Je t’ai préparé le petit déjeuner. »

Je lui réponds par un autre grognement. Puis je l’entendit s’éloigner. Je restais alors quelques minutes à paresser sous mes draps, pensant être protégé de la réalité comme un couverdure se protège du froid. J’en profitais pour repenser à ce qui m’attendais, et ce qui m’avait mené jusque là. Habiter dans la banlieue de Winscor, au sixième étage d’un HLM, pour moi ça m’était égal au final. Pourtant je me sentais comme étouffé, comme si on m’empêchait d’exprimer librement mon art. L’école publique ? Quelle blague… les professeurs n’en ont vraiment pas grand-chose à faire de savoir si tu as des ambitions ou bien si tu risques de sombrer dans la noirceur de la rue qu’est la délinquance. Il m’a fallut du temps pour arriver à savoir comment dire à mes parents que je ne me sentais pas bien dans ce cursus scolaire tout à fait générique. Sans doute que mes mauvaises notes dans les matières scientifique les ont légèrement alerté pour qu’ils me poussent à leur expliquer ce qui n’allait pas. Et donc je leur ai expliqué. Expliquer que je préférais m’exprimer librement à travers l’art plutôt que de recevoir de mauvaises appréciations sur des matières qui ne me plaisaient pas. En quoi cela motivait quelqu’un ? En rien.

Le choix s’est donc porté sur l’académie d’Edenia, quelque part à Sinnoh. Il parait que les profs y sont bons, et qu’on peut choisir une spécialité. Je n’ai pas hésité longtemps, et choisit le cursus de coordinateur. Je faisais déjà quelques test avec ma ponyta d’ailleurs. Je crois que l’art du spectacle me plait également en plus du dessin et de l’écriture. J’ai même été jusqu’à lui faire apprendre météore et cela a donné des résultats intéressant, en combinaisons avec d’autres choses. Un jour je m’étais demandé si c’était possible de faire une pièce de théâtre rien qu’avec des pokémon, j’aimerais bien essayer. Il suffirait juste d’un narrateur pour expliquer les paroles des pokémon et leur pensée, tout en déroulant le scénario. Oui… cela pourrait être chouette ! Mais difficile ?

Tiens, voilà encore que je rêvassais en m’imaginant une scène où un gallame agenouillé sur l’herbe prouvait son amour en poésie sous la fenêtre d’une gardevoir. L’histoire d’un amour compliqué, saupoudré de passion, de jalousie et de violence. Hmm… cela pourrait être pas mal.

C’est sur cette pensée que je me levais finalement. Profitant de caresser légèrement mon petit Rainbow, qui réagit en s’illuminant légèrement. Je pris ensuite le temps de prendre le petit déjeuner, puis me préparait en me coiffant rapidement et enfilant des vêtements confortable. Je rangeais ensuite quelques affaires dans ma valise, et me laissait distraire un moment par ce qui était accroché au mur de ma chambre. C’était un peu le dessin de ma vie qui était là, tous ces posters, ces dessins, ces œuvres.

Je m’arrêtais devant un gribouillis grotesque comme le ferait un enfant de deux ans. Cela n’avait ni queue ni tête et pourtant il était resté accroché là. Il avait même un titre qui venait d’être ajouté par ma mère à l’époque. Elle l’avait intitulé « Caca » parce que c’est le mot que j’ai dis lorsque je lui ai montré le dessin, elle avait trouvé ça amusant donc elle l’avait noté. Je ne connaissais pas beaucoup de mots à cet âge là, comme beaucoup d’enfants, donc j’imagine que c’est le premier mot qui m’est venu pour désigner ce gribouillage.

Ensuite mon regard s’arrêta devant un dessin déjà plus élaboré. Une colline avec des moumouton et un magnifique arc-en-ciel, on pouvait même apercevoir un moumouton gambader sur l’arc en ciel de façon féérique, une ouvre dessinée avec des crayons pastel. Il fait référence à un souvenir majeur. J’avais huit ans, et j’étais parti en promenade avec mes parents. Il avait plut à un moment, puis le soleil est arrivé après qu’on ait terminé l’ascension d’une colline peuplée de moumouton, et c’est là que ce phénomène superbe est apparu à mes yeux. Un dégradé de couleurs dans le ciel ! Comment c’était possible ? Comment est-ce qu’on pouvait trouver quelque chose d’aussi beau et d’aussi inspirant dans la nature ? C’était vraiment impressionnant mais surtout je me souviens que j’étais déstabilisé et que j’étais resté longtemps à fixer l’arc-en-ciel. C’est à ce moment que j’ai eu un déclic et que ma fibre artistique est vraiment née. Cet évènement m’a marqué et me marquera sans doute à vie. C’était tellement gravé en moi que j’ai appelé mon ponyta en référence au phénomène.

D’ailleurs en parlant de notre rencontre, c’était un cadeau de mes parents pour mes dix ans, pas grand-chose à dire de plus si ce n’est que j’étais ravis ! Je me suis tout de suite attachée à elle, et c’est devenu comme une muse. Quand je suis en panne d’inspiration il me suffit d’observer Rainbow, et c’est un peu comme si j’étais rechargé par l’énergie de l’arc-en-ciel qui m’était apparu à mes huit ans.

Depuis ce moment j’ai été très prolifique. Éventuellement j’ai atteint l’adolescence et je me suis mis à penser à d’autres choses, sans doute à cause des hormones, allez savoir. En témoigne sans doute ce grand poster de Donna que je me suis procuré quand j’avais douze ans où elle est allongée sur une serviette de plage simplement vêtue d’un bikini bleu azur, accompagnée de plusieurs pokémon eau. A priori ce n’est pas seulement la lumière, ni même la richesse des couleurs, ou encore la composition de la scène qui me plaisent dans cette photographie, mais aussi la beauté que peuvent faire ressortir les sujets photographiés. Disons également qu’à cet âge j’étais aussi tombé sous le charme de Donna, mais il faut dire qu’elle est très douée comme modèle et vraiment photogénique en plus de son statut de championne d’arène. La plastique d’un individu restait quelque chose d’artistique selon moi.

Finalement je m’arrêtais devant une autre œuvre, la plus récente. Une sorte de montage avec différentes choses que j’avais coupées puis collées. Sans doute la représentation de mon esprit en bazard, de cette révolte qui me prend petit à petit. Quand mes parents ont vu ça, ils ont commencé à s’inquiéter, mais je leur ai fait comprendre que c’était une œuvre comme une autre. Bref, ils n’étaient pas dupe, ils ont dû garder à l’esprit que j’étais dans un passage transitoire. A la recherche d’une identité. C’est le cas. J’ai envie de m’essayer un peu à tout et donc mon imaginaire semble chaotique. Je dois me trouver. J’espère que ce séjour dans cette nouvelle académie me permettra de trouver ma voie...

En parlant de ça, c’est finalement le moment. Il est 10h30. Je prends mes valises et je fais rentrer Rainbow dans sa ball. J’accompagne ensuite mon père à la gare de Winscor après avoir dis au revoir à ma chère mère. Je profite encore des paysages de Galar qui me manqueront certainement. Le panorama défile à grande vitesse, mon esprit s’emballe, un tourbillon d’inspiration me prend. J’arrive ensuite au port de Skifford afin de prendre un bateau en direction d’Edenia. C’est là que je dis au revoir à mon père.

Mes parents vont me manquer...

C’est quelque chose. Pour la première fois je vais devoir me débrouiller tout seul, comme un grand. Je vois alors les terres de Galar s’éloigner de ma vue en compagnie de Rainbow. C’est vrai, je ne suis pas vraiment seul au final, je suis avec ma muse, c’est tout ce qui m’importe. Les vagues miroitent les rayons du soleil, je me perds alors à imaginer un monde sous-marin multicolor qui a capturé l’essence du soleil et garde jalousement pour lui cette multitude de lueurs colorées, pour que les gens de la surface soient incapable d’y voir à travers. Finalement je parviens un jours plus tard au port d’Edenia, légèrement fatigué car j’ai voulu observer le coucher de soleil jusqu’au bout la veille. J’étais au crépuscule d’une ancienne vie. Me voilà à l’aube d’un nouveau monde de possibilités. Je suis fatigué oui mais surtout content, content de partir dans une nouvelle aventure. Je me sens à présent sans limite, comme cet horizon qui se profilait devant moi sans fin. Il ne me restait plus qu’à exprimer librement mon art, cette fois-ci en compagnie de gens motivés.

Pour moi c’était une certitude. Ce renouveau, cette nouvelle vague, cela se passerait ici, à Edenia.


Espèce : Ponyta de Galar


Type(s) : Psy

Surnom (Facultatif) : Rainbow

Sexe : Femelle

Caractère : Douce [Plus d’infos bientôt dans la fiche Pokémon]

CTs qu'il connaît : Météore


Pseudo : C’est un DC d’Eli ! Ou bien Sylver pour les intimes. :v

Âge : 30 ans T_T

Où avez-vous connu le forum : Sur internet. :feelscuteman:

Depuis combien de temps faites-vous du rp : Ma foi, déjà 11 ans, dont pratiquement 10 à devoir supporter Takeshi. Mince alors.

Aimez-vous le design ? Si non, pourquoi ? Suggestions pour améliorer le forum ? Windy assure vraiment. Mais pour son propre bien elle devrait moins jouer à Animal Crossing :x (oui bien sûr que ça compte comme suggestion D: ).

Mot de la fin : Leon c’est le meilleur admin québécois de Gakuen à l’heure actuelle.

Re-bienvenue

Alors il fantasme sur Donna hein...

On s'occupe de ta fiche le plus vite \O/

C'est faux ! Ça fait minimum 8ans mais c'était pas avant 2013 c'est sûr ! Et on le sait tout les deux que je suis ton préféré. C'est moi qui t'ai affronté deux fois lors de combat ardent !

Fait pas ta tsundere

J'espère que tu te plairas en... rose

Bienvenue à l'Académie Blaise Thunder !

Tu rejoins officiellement les Coordinateurs !

Pense à faire le carnet de ton personnage, la fiche où tu noteras tes futurs Pokémons et ton adresse mail avant de commencer à RP !

Evite de taguer les murs de l'école, s'il te plaît !
Bonne année scolaire à toi !