Bienvenue dans le monde merveilleux des pokémons. (Terminée)

Physique & Caractère

L’une des principales caractéristiques que l’on remarque chez Lily, ce sont ses longs cheveux vermillon, traînant avec élégance et grâce. Lorsque vous lui parlez, en portant une attention sur son visage, vous pourrez remarquer que ses grands yeux présentent une iris aussi brillant que l’ambre. La dame possède de grands yeux dorés, s’harmoniant avec la couleur de sa chevelure, vous fixant et vous observant avec attention.

Notre dame est munie d’un galbe parfait en plus d’être callipyge. Elle a un ventre plat et la cambrure des reins légèrement accusées mettent en valeur sa taille fine, les membres modérément musclés. Son corps plutôt élancé et athlétique est un excellent témoignage de l’hygiène de son corps. On peut la reconnaître de loin à sa démarche altière, à sa silhouette élancée, ainsi qu’à ses mouvements précis. Même si elle ne l'avouera jamais, son poids approche la cinquantaine de kilogrammes pour cent-soixante-cinq centimètres de haut. Son teint reste très clair, ne bronzant que très rarement. Elle reste sensible aux coups de soleil et préfère éviter de s’y exposer trop longtemps, prenant soin de son corps en tout moment.

Pour ce qui est de sa tenue vestimentaire, une touche d’élégance mais de classe est toujours de mise. Véritable femme d’entreprise, elle ne sort jamais sans son combo talons-tailleur-chemisier. Parfois une cravate accompagne ses vêtements selon la tenue qu’elle choisit tout comme il est possible de voir par moments un chemisier échancré, laissant possible une observation minutieuse de ses formes généreuses. Mais c’est une personne qui est extrêmement regardante sur sa tenue et de l’image qu’elle souhaite envoyer. Par moments, il est possible qu’elle recouvre sa tenue d’une blouse blanche, la marque commune de tous les scientifiques qui se respectent un tant soit peu.


Lily-Rose est une chercheuse et avant tout un Professeur. Comme ses théoriques pairs, elle représentante avant tout le calme et la sérénité. Avec un sang-froid incroyable, elle fait partie de ce genre de personnes qui réagissent avec une attitude stable et posée. Peu importe le moment, la pondération l’emporte toujours à la précipitation. Observant et analysant tout ce qui peut se passer autour d’elle et dans son environnement, elle ne laisse rien la prendre au dépourvu. Son visage extrêmement expressif en déconcentrera plus d’un. Nombreuses sont les émotions qui s’expriment au travers de son visage. Des lèvres qui sourissent, un regard touchant, la direction de ses yeux quand elle parle, de nombreux codes visuels peuvent représenter en temps réel ce qu’elle pense.

Quand elle perd ses moyens, à ce moment-là, elle devient une personne incontrôlable, pleurnicharde, qui ne fait que se plaindre et qui réagit mal à la moindre provocation. Une seule goutte d’alcool peut réussir à arriver à cet effet amusant (pour les autres), mais elle est aussi extrêmement sensible à la flatterie et sa naïveté pourrait faire passer un enfant pour un maître de mensonges.

Elle est de nature sociable et est très à l’écoute, c’est une femme qui n’a jamais peur de dire ce qu’elle pense, même si cela peut blesser. De plus, elle n’ouvre la bouche que pour dire quelque chose d'intéressant, pouvant partir en débat philosophique juste en observant la pluie et le beau temps.  Il se trouve qu’elle n’abordera jamais une conversation sur sa propre personne. Essayer d’en savoir plus sur elle est comme un virage en épingle. Douée de répartie, elle évitera avec habilité le sujet.

Elle est dotée d’un esprit libre, très critique et se montre très curieuse sur le plan intellectuel. Détestant ne pas savoir quelque chose, elle pourrait passer sa vie dans une bibliothèque pour se cultiver et s’entraîner mentalement. Mais elle reste une personne très fière, avec un certain orgueil parfois mal placé. Si elle échoue quelque part, elle s’en voudra énormément et fera tout ce qui est en son pouvoir pour corriger cela.

Beaucoup plus têtue que déterminée, elle reste concentrée sur ses buts et rien ne peut la détourner de son chemin une fois qu’elle a décidé d’entreprendre quelque chose. Ayant son code de l’honneur et une morale stricte. Elle pense beaucoup à ses élèves et attend énormément d’eux. Quand elle prend quelqu’un sous sa responsabilité, elle veille à son bon développement et se montre très sévère envers eux comme envers elle-même. Se disant constamment qu’elle ne serait pas digne d’être un précepteur si elle ne travaillait pas au moins dix fois plus qu’eux.

Grande amie des pokémons et de la nature, elle apprécie énormément la beauté que peut offrir le monde. Elle pourrait passer des heures à regarder un ruisseau couler. Admirant les paysages merveilleux de l’environnement. Elle rejettera donc avec dégout les personnes qui ne prennent pas soin des pokémons et la flore et usent et abusent d’elle sans modération.

Pour elle, le respect est une valeur des plus importantes, si respect il n’y a point, aucune communication saine ne pourrait alors aboutir. Elle appuie néanmoins une certaine dichotomie dans le respect et la crainte. Son caractère reflète des traits téméraires et ambitieux, assumant pleinement ses responsabilités et consciente de ses actes.

Sur la même idée, elle n’a pas peur de faire face à des personnes visiblement plus fortes qu’elle lors d’un combat pokémon. Dans un match, elle donnera toujours le maximum. Lily se battra avec tous les moyens en sa possession, de manière à être sûre qu’aucun regret ne puisse être formulé de sa part. Qui plus est, elle aurait l’impression de manquer de respect à son adversaire si elle lui laissait des fleurs.

En match pokémon, sa nature bienveillante et candide change du tout au tout, c’est une personne sans pitié et qui ne se laisse déconcentrer par rien d’autre. Sa personnalité change du tout au tout pour ne laisser qu’une personne concentrée dans son match, donnant toujours l’impression de se battre pour sa propre survie. Si elle doit affronter quelqu’un dans un contexte non amical où sa vie est en danger, elle part du principe qu’il s’agit d’un match à mort et fera tout pour mettre adversaire hors d’état de nuire s’il est encore en état de se battre. La pitié est quelque chose qui lui est inconnu dans un conflit. De plus, elle exige cette même combativité auprès de ses pokémons. C’est pourquoi elle préfère être accompagnée de pokémons à fort caractère prêts à balayer cette pression imposée et la remplacer par le goût de l’effort et de l’efficacité.

 

Histoire

Journal de Lily
Jour XX, Mois YY, Année ZZZZ

Tout scientifique se doit de garder ses mémoires, pour cette nouvelle aventure, je vais, consigner un résumé de ma vie dans ce journal et j'y inscrirai mes découvertes au fil du temps dans cette nouvelle région.

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Je suis née voilà bientôt une trentaine d’années, par un matin d’automne. Ma famille est originaire de Phenacit et aujourd’hui encore, elle tient un petit cabinet de vétérinaires pour les pokémons. Ma mère est docteur et mon père fait de la recherche dans les outils technologiques. Cette famille était un puis de sciences dans cette merveilleuse cité des fontaines. Certes, la nature n’a pas vraiment sa place car c’est situé au milieu d’un désert, mais la vie y est calme et paisible. De nombreux pokémons vivent chez nous également, pour nous aider dans la vie quotidienne ou encore pour que la famille puisse les étudier. C’est dans cette cité même, voilà vingt ans, que j’ai fait la connaissance de mon premier pokémon, qui à l’époque n’était qu’un petit Riolu. Une dresseuse, qui était aussi une artiste martiale, passa par chez nous pour s’entraîner afin de combattre au Colosseum, son pokémon eut une portée avec son Lucario et j’héritai d’un des œufs simplement. J’ai donc passé la première partie de ma vie à me familiariser avec mon pokémon, j’apprenais de lui comme il apprenait de moi et ensemble, nous convoitions de gravir les sommets.

Mais, comme l’enfant que j’étais, je m’intéressais à tout, vraiment tout. Et assez tôt, j’ai commencé à me passionner pour les études et les professeurs pokémons d’autres régions et ce que faisaient mes parents. En fait, au-delà de la recherche, j’adorais vraiment leurs tenues et le charisme que pouvait refléter une blouse de scientifique. Je souhaitais vraiment devenir aussi intelligente une fois adulte. Mon compagnon, lui, souhaitait surtout affronter le plus grand nombre de pokémons possibles, une caractéristique commune des pokémons de type combat. Même si mon pokémon avait mordu plus d’une fois la poussière à l’époque, il en redemandait. C’était une force de la nature que même moi j’avais parfois du mal à contrôler.

Je me plaisais tellement à étudier, que j’ai fini par choisir ma voie et me lancer dans la recherche scientifique. S’en est suivi un long, très long, extrêmement long travail sur moi-même. La discipline et le gout de l’effort étaient les premières vertus que je devais maîtriser. Aujourd’hui encore, je me souviens des allers retours à la bibliothèque pour chercher une information, des cours et des leçons interminables et pourtant quand j’y repense, c’était vraiment le bon temps. Je m’amusais beaucoup et mes ainés étaient très gentils avec moi. Je n’arrêtais pas de lire en plus des cours qu’on me donnait, je me cultivais sur l’ensemble du monde. Mes ainés préconisaient que la connaissance et la culture étaient des forces qui ne se dégradaient jamais avec le temps.

Bien que toute la connaissance du monde puisse être transcrite dans des livres, il restait une chose qui ne remplacerait jamais tout le Savoir. On appelle cela l’expérience. Après m’être entraînée mentalement, mes parents m’ont suggéré de faire le fameux voyage initiatique que de nombreux préadolescents entreprennent pour apprendre de la meilleure école qui soit. Celle du terrain. J’aime la sédentarité, mais une aventure comme celle-ci ne se refusait pas. J’allais pouvoir rencontrer de nombreux dresseurs et parfaire mes connaissances. Entraînant mon Riolu comme le ferait un maître de dojo. Je ne pouvais qu’évoluer en faisant cela.

C’est donc avec entrain que j’ai commencé ma quête pour devenir un dresseur. Mais au fond de moi, j’étais plus qu’excitée de devoir me rendre sur les villes et affronter un maximum de personnes, quitte à perdre mille fois et à gagner mille fois. Je me demandais même si j’étais capable de pouvoir devenir gagner des Colosseums. La très basse population de pokémons sauvages renforçait l’idée que les combats pokémons étaient le seul moyen d’en découvrir de nouveaux, cela ne me suffisait pas, j’avais besoin de plus. De plus, on ne compte absolument pas beaucoup d’habitants à Rhodes. Mais j’avais encore le temps devant moi, c’est pourquoi j’ai continué d’étudier les pokémons et, vu que j’étais baignée dedans, je me suis intéressée aux combats pokémons. Profitant des nombreux colosseums pour observer les pokémon en combat mais aussi les dresseurs.

A quinze ans, je suis enfin partie pour Kanto. Le but était de faire un tour de la région tout en découvrant le monde.

Une année, c’est à peu près le temps que j’ai mis pour faire le tour de Kanto. Récoltant badges, pokémons, expérience et le plus important selon moi aujourd’hui, des souvenirs. Je crois que je peux affirmer que c’était l’une des plus belles périodes de ma vie. Cette aventure fut longue, j’ai mis plus de temps que la moyenne des nouveaux dresseurs pour parcourir les routes de Kanto. Je prenais le temps d’admirer chaque paysage, faire énormément de détours pour des amis qui nourrissaient d’autres objectifs. Nous n’hésitions pas à rester plusieurs jours au même endroit si on s’y sentait bien.

A la fin de ma première aventure, je me suis alors rendu compte que malgré tout l’entraînement que je me suis infligée ainsi que les expériences accumulées, je n’ai pu venir à bout de la Ligue Indigo. Le fameux tournoi qui donnait droit à affronter la ligue pokémon. J’étais forte, je le pensais vraiment, mais comme le disait certains, on trouve toujours plus fort que soi. Il me fallut du temps pour m’en remettre. Mon Riolu, en colère contre lui-même de ne pas s’être montré assez puissant, finit peu après par évoluer en Lucario. Malgré la défaite, nous avions appris à évoluer avec celle-ci et que nous pouvons en tirer des leçons.

Ce fut donc le cœur autant amer que ravi que je me suis séparée de mes premiers véritables amis pour rentrer chez moi à Phenacit. C’est quand on rentre qu’on se rend compte que l’aventure est une chose magnifique. Je n’avais qu’une envie, repartir. Je ne suis même pas restée deux mois que je refis mes bagages et partit pour Céladopole. Mon objectif, l’Université de Celadopole.

C’est donc à seize ans, que je suis entrée à l’Université de Celadopole, je pus y rencontrer de nombreux esprits et des génies venant de tous horizons. J’avais un rêve à nourrir, devenir un jour Professeur Pokémon, le titre le plus exaltant que tout scientifique travaillant autour des pokémons pouvait avoir. Travaillant sur les pokémon en général, je me suis intéressée aux objets pouvant accompagner les pokémons mais surtout aux capacités générées par ces derniers. Les ressources que nous offraient les pokémons avaient le mérite de pouvoir s’y intéresser. Les Capsules Techniques, les Pokéballs, ces objets du quotidien m’intéressaient tout autant et aujourd’hui encore, il n’est pas rare que je trifouille des objets technologiques pour essayer de les améliorer.

J’ai beaucoup voyagé pour mes études. M’intéressant donc aux Capacités, je suis allée à Alola pendant 2 ans durant mes études pour y étudier la Force Z et les capacités qui en découlaient. Jamais je n’avais pris autant de coup de Soleil de ma vie mais au moins je pouvais continuer de travailler sur mes recherches en toute tranquillité. Je suis même retournée de nombreuses fois à Rhodes pour observer encore et toujours les dresseurs durant leur combat.

Quand, enfin, au bout de huit ans d’études, il ne me restait que quelques étapes pour avoir le titre convoité et jalousé de Professeur Pokémon.

Je pensais ne plus voyager, rester dans un laboratoire rien qu’à moi. Cependant, il fallait encore que je me forge une expérience sur le terrain. Même après avoir validé une première thèse, ce n’était pas suffisant pour que je devienne Professeur Pokémon, mes supérieurs m’ont conseillé de travailler en tant qu’enseignant, ce que je fis. J’ai eu un poste de « Professeur en stratégies de combat, vulnérabilités des pokémons et entraînement ». Une fonction qui me convenait extrêmement bien.

Mes premières années en tant qu’enseignante furent aussi rigoureuses que possible. Adepte de nouvelles pédagogies et de moyens de faire mes recherches, je m’imposais un encadrement de vie stricte et je passais des heures à méditer et à apprendre tout ce que savais des élèves, même si je leur apprenais des savoirs, savoir faire et savoir être, j’apprenais beaucoup d’eux également. Même si je reste aujourd’hui persuadée que la meilleure école est celle du voyage initiatique, un cadre tel que l’académie apportait énormément d’avantages pour les élèves. L’île formait un environnement qui n’avait rien à envier aux autres régions, le paradis des chercheurs et des scientifiques.

Nous avions même parfois plusieurs occasions de voyager à travers la région de Sinnoh lors de sorties scolaires où ailleurs chacun de son côté pendant les grandes vacances. Des voyages bien plus courts que celui que ceux que j’avais pu faire lors de ma quête initiatique, mais tout aussi enrichissants. J’en ai profité pour entraîner mon Lucario à maîtriser sa forme évoluée. Il avait beaucoup de mal avec sa perception de l’aura, c’était ce que nous travaillions en priorité. C’est durant cette période que j’ai énormément continué la poursuite de mes recherches, voulant toujours sur le long terme devenir Professeur Pokémon.

Enfin, c’est quatre ans plus tard après avoir commencé mon travail en tant qu’enseignante, l’année de mes vingt-huit ans, que je pus avoir l’occasion de devenir Directrice adjointe.

Ou plutôt, qu’il me fut accordé de passer une batterie d’examens. Cela ne pouvait que m’entraîner pour le titre de Professeur Pokémon plus tard. A Edenia, Directrice Adjointe était un titre convoité mais extrêmement intéressant. Une progression dans la hiérarchie de l’académie.

Il n’y avait rien de difficile ou compliqué, comme pour tout, les examens demandaient préparation et assiduité. Devenir Directrice Adjointe n’était pas une tâche insurmontable. Avec de la patience et de la bonne foi, on pouvait le devenir en suivant les étapes une à une, sans chercher à précipiter les choses. C’est ce que j’ai retenu de plus important en tout cas. Qu’il n’existe pas de raccourcis dans la vie et que chaque étape était à prendre avec la plus grande considération.

Mes examens furent des plus exaltants et encore aujourd’hui, je ne me vois pas refaire tout ça. Il ne me restait qu’une seule étape après avoir passé tant de tests. Quand on m’annonça que j’avais réussi tous mes examens, je n’avais pas réussi à exprimer de la joie, à force de me concentrer sur d’autres objectifs, j’avais perdu de vue l’idée de devenir Professeur Pokémon un jour, devant mon visage un peu déconcerté, on me rappela que les exploits ne s’héritent pas. Si je souhaitais vraiment me démarquer pour devenir Professeur Pokémon, alors il fallait continuer des recherches, continuer d’étudier, encore et toujours. Après tout, la vie de chercheur était sans fin. Ce n’était pas être un chercheur qui façonnait nos objectifs. C’est quand on avait justement des objectifs que nous étions chercheurs.

Mais il me restait un doute, une idée que je n’arrivais pas à ôter de ma tête. Qu’allais-je faire désormais ? Rester à Edenia pendant combien de temps ? Devais-je tout plaquer et repartir en voyage ?

Je suis donc retournée chez mes parents pour un temps, prenant quelques congés avant de prendre ma nouvelle fonction. J’avais déjà vingt-sept ans, vingt-huit en milieu d’année, et passé ma vie entière dans la recherche. Même si j’adorais ce que je faisais, mon cœur était rempli d’incertitudes, sûrement une déformation professionnelle des scientifiques, toujours se remettre en question.

Je suis donc partie cette fois pour Hoenn. Une région un peu plus éloignée que Kanto. Pour changer, j’avais mon plus jeune frère avec moi. Je me sentais un peu moins seule pour le coup. Pourquoi il est venu ? Je lui avais promis qu’une fois qu’il aurait onze ans je l’accompagnerai pour son voyage initiatique. Il en a donc profité pour visiter Hoenn avant de parcourir les routes de Jotho.

Pendant notre voyage, j’en profitais pour enseigner à mon frère ce que moi-même j’avais appris. Je lui transmettais tout ce que je pouvais. J’espérais qu’il aille loin et qu’il fasse honneur à notre famille. Et puis c’était toujours plaisant de voir des êtres aimés devenir heureux.

J’ai retrouvé du sens quand j’ai affronté un de mes anciens élèves qui venait également de Rhodes, après avoir pris un café et discuté, nous avions fait un match pokémon. C’était un cancre, un élève qui refusait d’apprendre envers et contre tout mais pour qui je m’étais énormément investie. Et pourtant, même si je voulais le tester cet élève jusqu’au bout, pleine de certitudes, la personne qui a du se donner au maximum, c’était moi. Mon ancien élève avait dépassé mes espérances et de loin. Mêmes mes pokémons ne s’y attendaient pas. Il avait élaboré des tactiques, des stratégies, pour chacune des situations du combat. Il m’avait montré qu’il était digne d’être un bon dresseur. Jamais je n’avais autant apprécié un match pokémon. Pour la première fois, je me sentais en vie. Quand l’élève m’a dit que c’est grâce à mes cours qu’il a pu devenir meilleur et s’améliorer, c’est vraiment là que j’ai compris une partie de la réponse que je cherchais en enseignant.

Mon Lucario, partageait ce sentiment. En enseignant à quelqu’un, j’enseignais à moi-même. Ce qui me donna quelques idées. Pour la suite une fois de retour à Edenia. Nous sommes donc repartis à la fin de mes congés, mon Lucario et moi, pour Edenia, la tête pleine d’ambitions pour ma part.

Votre Premier Pokémon

Espèce : Lucario

Type(s) : Acier/Combat

Surnom (Facultatif) : Ryu

Sexe : Mâle

Caractère : Sérieux

CTs qu'il connaît : CT91 : Luminocanon - CT71 : Lame de Roc - CT84 : Direct Toxik