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 Je vois des gens qui sont morts ... [Eléonore Ambriel] Finit (?)

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MessageSujet: Je vois des gens qui sont morts ... [Eléonore Ambriel] Finit (?)   Je vois des gens qui sont morts ... [Eléonore Ambriel] Finit (?) Icon_minitimeMar 21 Mai 2019 - 22:17



Entre Illusion et Réalité





    Prénom : Eléonore

    Nom : Ambriel

    Âge et Date de naissance : 16 ans - 1er Novembre 2003

    Sexe : Féminin

    Ville d'origine : Kalos, Flusselles

    Rang : Chercheuse

    Sur quel étage voudriez-vous votre chambre ? : 4è étage

    Description de la chambre : Eleonore occupe une chambre tout à fait basique, simple, doté d'une grande fenêtre apportant une belle luminosité dans la pièce. Son bureau au fond de la pièce est désorganisé, recouvert de tout un tas de bouquin traitant d'histoire, de sciences, de sciences occultes, d'ésotérismes, toute une bibliothèque de sujets qui la passionnent. Un cristal de roche et un quartz blanc trônent fièrement au milieu de tout ce joyeux bazar et détail important : elle veille a ce qu'un attrape rêve soit toujours au dessus de son lit avant d'aller se coucher.

    Personnage sur l'avatar : Suzune Horikita - Classroom of the Elite  
Physique
Grande, élancée, Eléonore attire les regards surtout grâce à sa chevelure abondante, une cascade à la couleur aussi intense que les plumes noires des corbeaux. C'est son plus grand atout, son plus beau don de la vie, la demoiselle en est extrêmement fière, et cela ce voit dès le premier regard : ils sont d'une beauté indéniable, doux, parfaitement entretenus au quotidien, chouchoutés de soins. Ils sont également d'une longueur qui ne passe guère inaperçu, déferlant telle une nuée ardente de ténèbres le long de son corps. Elle mesure un mètre soixante quatre, une taille tout à fait dans la moyenne, pour un poids de cinquante trois kilos. Corpulence tout aussi basique.

Ses jolis yeux violets sont la plupart du temps rivés sur un livre, ou son carnet de note qu'elle garde toujours sur elle, non loin, dans lequel elle inscrit de son stylo décoré avec dragon en résine rose et or, son stylo porte bonheur, ses notes ou ses idées sur ses recherches, ou d'autres fantaisies. Ce carnet lui est très précieux, et elle ne laisse personne de confiance y jeter un coup d’œil. Et surtout pas par dessus son épaule. Qu'elle impolitesse.

Son style vestimentaire se rapproche de son attitude, son caractère : Toujours propre sur elle, tirée à quatre épingles, pas une tâche ou un plis sur ses vêtements, jamais. Elle porte toujours ses vêtements à une laverie en ville, puis les emmène au pressing afin qu'ils soient correctement repassés. Tous les détails comptent. Surtout ses uniformes qu'elle adore tant enfiler pour aller en cours. Il faut bien admettre que ça lui donne une fière allure dans les couloirs.

En règle général, et d'ailleurs c'est une obligation pour elle, Eléonore ne se sépare jamais de ses gri-gris protecteurs : Un collier d’œil de tigre, deux bracelets de tourmaline noire, et quatre bagues qu'elle porte sur la main droite serties de pierres. A l'index trône un grenat rouge, sur le majeur se trouve une améthyste, sur l'annulaire domine un œil de faucon, sur l'auriculaire enfin une obsidienne œil céleste.
Caractère
Connaissez vous le fameux cliché du rat de bibliothèque ? Eléonore passe le plus clair de son temps plongée dans ses livres d'études, que ce soit ses cours, ses leçons ou son domaine favori : le paranormal. Studieuse, vive d'esprit, intelligente, elle ne rabaisse pas pour autant les autres et partage avec plaisir son savoir, ses connaissances... A qui veut bien l'entendre. Qui apprécie traîner avec les "intello" comme elle avait si souvent entendu ? Peu lui importait dans tous les cas, car ce n'était pas la popularité qu'elle brigue, la tranquillité des lieux calmes comme les salles d'études, ou les grands espaces dans la nature sont des terrains appropriés pour ses recherches personnelles, dans lesquelles elle investit toute son énergie.

C'est une battante prête à tout pour obtenir ce qu'elle souhaite. Hors de question d'abandonner lors de la première difficulté. Enfin, sauf dans le relationnel. C'est déjà un domaine plus délicat dans lequel nombreuses sont ses lacunes. Ses vrais amis se comptent sur les doigts de la main. Un, si on compte son petit protégé, Fripouille, zéro si... On compte le reste. Eléonore reste une jeune fille discrète, elle n'ira jamais au devant des gens, même s'ils semblent sympathiques aux premiers égards. Elle ne s'impose pas, s'efface, surtout si on lui cherche des noises. La demoiselle saura se défendre avec une bonne répartie, cependant ... Ça ne peut lui attirer que plus d'ennui. Et si ses détracteurs en viennent aux mains pour se venger, elle n'aura que deux options : la fuite, ou le mode carapace. Se protéger au sol du mieux qu'elle peut et prier pour que ça finisse vite.

Si vous parvenez à gratter cette apparence de demoiselle stricte, coincée, vous découvrirez sa part de ténèbres profondément enfouie ... Celle ... D'une admiration pour l'humour absurde et les blagues ... Que l'on peut sans nulle crainte définir comme "vraiment complètement pourries". C'est simple, plus c'est stupide, plus elle trouvera ça drôle. Et si vous la faite rire, ça peut durer longtemps, comme si elle s'était retenue toute sa vie, ce qui casserai complètement les premiers a priori que l'on pourrait se faire d'elle lors de la première rencontre. Mais que voulez vous, il est souvent impossible de connaître entièrement une personne lorsque l'on ne se fie qu'aux premiers regards.
Histoire
Souvenirs douloureux d'un passé qu'elle souhaiterai oublier, l'effacer, ou le réécrire ... Une enfance pourtant d'apparence paisible, un foyer rempli d'amour et de chaleur... Et la part sombre d'une histoire qu'elle ne garde que pour elle ...

Eléonore ne garde que très peu de souvenir de son enfance. Sa mère, Rosalina Ambriel, était visiblement auprès de tous une femme souriante, pleine de vie. Son métier, une chance pour certain, un calvaire pour d'autre, un cauchemar pour Eléonore, consistait à s'occuper des enfants d'autres familles, lorsque les parents devaient s'absenter en journée pour le travail ou pour d'autres obscures raisons. Eléonore ne voyait qu'une chose en ce métier : un amour inégalement réparti entre ces profiteurs qui n'étaient et ne seraient jamais ses frères et sœurs et accaparaient tout l'esprit et la concentration de sa véritable mère. Et lorsque le soir venait enfin, que ces gêneurs partaient enfin, Rosalina, bien qu'épuisée, tâchait toujours de prendre soin de sa seule fille... Hélas pas suffisamment de temps pour la jeune enfant, trop discrète pour se faire remarquer quand les autres bambins criaient ou pleuraient pour attirer l'attention de leur nounou.
Peut être que l'histoire aurait été différente si elle avait eu un père. Malheureusement, aucune trace de celui-ci. Eléonore ne l'avait pas connu. Peut être que si, lorsqu'elle était bébé, mais aucun trait ne lui revient, ni de voix, rien. Lorsque pour la première fois elle demanda pourquoi elle n'avait pas de papa, sa mère lui répondit qu'il était mort en héros, dans l'exercice de ses fonctions. Il s'agissait d'un policier haut gradé qui s'était attiré la foudre d'un gang de délinquants qui n'avaient pas apprécié le démantèlement de leur organisation. La petite ne demanda plus jamais d'autres informations à son sujet... Et entendait souvent pleurer sa mère, seule dans sa chambre, s'apitoyant sans doute sur la perte de cet être cher...

La jeune fille continuait de grandir, avec ce même sentiment d'inégalité. Pourquoi ces enfants qui avaient leur deux parents pouvaient ainsi lui voler la seule famille qui lui restait ? Et pourquoi cela semblait normal pour sa mère ? Pourquoi continuait-elle à leur exprimer plus d'amour qu'à elle ?

C'était un après midi d'été, alors que les enfants gambadaient dans le jardin de la maison familiale. Rosalina les surveillaient attentivement de non loin, sirotant un thé. Elle pouvait se reposer quelques instants pendant qu'ils se chamaillaient entre eux. Eléonore n'avait alors qu'une idée en tête : attirer son attention une bonne fois pour toute, et montrer à tout le monde qu'ici la chef, c'est elle, et qu'elle devait être la plus aimée. Maladroitement, de ses petits membres frêles, elle grimpa à l'immense noyer de son jardin. Quand elle atteint finalement une haute branche, avec de nombreuses égratignures recouvrant la chair de ses bras et ses mains, elle appela d'en haut tout le monde, en criant le plus fort possible. Regardez moi, regardez moi, ces paroles résonnent encore aujourd'hui dans sa tête ... Quelle idée stupide... Il ne fallut pas longtemps pour que la petite fille ne fasse un faux mouvement et chute de la branche. Chute qui heureusement pour elle ne fut pas fatale, mais suffisamment grave pour un aller simple pour l'hôpital. Au moins... L'objectif d'attirer l'attention était réussi...

A nouveau les souvenirs sont flous pour la demoiselle. Combien de temps resta-t-elle dans cet endroit ? Combien de temps sa pauvre mère a dû supporter de voir sa fille dans cet état ? La jeune fille ne demanda jamais ces informations... Cependant... Elle se souvint ... Lors de son réveil, il y avait des personnes qu'elle n'avait jamais vu auparavant. Que faisaient-ils dans la chambre ? Lorsqu'un infirmier vint lui rendre une visite lors de son réveil, son premier réflexe était de demander bien évidement qui étaient-ils. Le visage de l'infirmier était gravé à tout jamais dans son esprit. Un air bredouille, embarrassé, et une réponse simple. Il n'y avait personne. Eléonore avait beau regarder par dessus l'épaule de cet homme, elle les voyait toujours. Elle esquissa un sourire gêné, et se dit que ce devait être son imagination. Elle était encore jeune après tout ... Et peut être qu'elle était encore sous le coup du choc...

La routine reprit tranquillement son cours... Néanmoins... Eléonore continuait de voir toutes ces personnes autour d'elle, ces gens que personne ne semblait remarquer à part elle, et même ces silhouettes paraissaient surprise qu'elle les regarde, qu'elle les fixe, et tente même parfois d’interagir avec elles... Rosalina s'inquiétant pour l'état de sa fille consulta des pédopsychiatre qui en venaient souvent à la conclusion suivante, la seule qui tenait la route : sa petite fille, en manque d'amour, s'était inventée tout un monde peuplé d'amis imaginaires avec qui parler, c'était pour cette seule raison qu'elle voyait soit-disant des gens invisibles. Et bien sûr, elle possédait une imagination débordante pour décrire aussi aisément les fausses personnes qui l'entouraient. Rosalina ne pouvait être que rassurée de ces explications réalistes. Cependant pour la jeune Eléonore, la seule explication possible était bien plus improbable : Elle pouvait maintenant voir les fantômes.

Les années passèrent, Eléonore s'était assagie, elle ne réclamait plus rien telle une enfant capricieuse. Elle se contentait de lire tranquillement dans son coin, se passionnant pour les livres traitant de l'ésotérisme, du paranormal, au grand dam de sa mère. Mais que voulez vous, elle ne voulait pas prendre le risque de brusquer sa fille en lui affirmant fermement que les fantômes, les fées ou autres c'était comme le père noël : Aucun n'existait. Et puis... Peut être s'agissait-il là juste d'une période... Une fois plus grande, sans doute se passionnera-t-elle pour autre chose...

L'école et le collège qu'elle fréquenta enfant n'aidèrent pas à la sociabiliser ou la rendre plus "normale". Au contraire, tant de fois moquée par ses camarades pour ce qu'elle considérait comme un don, tant de sobriquets blessants la poursuivirent longtemps, comme la folle, la zarbi, la sorcière, la pas normale... Il n'en fallu pas plus pour renfermer la jeune fille encore plus sur elle, et la diriger vers ce monde occulte que personne ne pouvait voir mis à part elle, où ces gens, ces silhouettes, eux, au contraire, ne lui voulaient pas de mal, et pouvaient même être bienveillant envers elle, ses soit-disant amis imaginaires...

Tellement imaginaire qu'un jour, croyez le ou non, peut être était-ce un rêve, peut être ses souvenirs étaient faux, mais elle y croit dur comme fer, elle se lia d'une amitié profonde avec un petit garçon, bien plus jeune que lui à l'époque. Il lui raconta comment il avait perdu la vie, lors d'un bête accident domestique, noyé dans la grande piscine que sa famille avait fait construire alors qu'il voulait juste s'y baigné... Malheureusement, une chose en entraînant une autre, un mauvais alignement du sort, il ne savait pas nager et ses parents étaient trop occupé pour le surveiller. Eléonore se reconnaissait quelque peu dans son histoire, après tout elle aurait pu subir le même sort... Les choses se sont passés différemment, la vie avait triomphé cette fois-ci... Et dans son petit cœur d'enfant, elle ne souhaitait qu'une chose : que ce jeune garçon puisse avoir une seconde chance dans sa vie. Rassemblant des quartz, des bougies, les yeux plongés dans ce qui lui semblait être un vieux livre de magie noir, elle tenta une incantation de sa voix maladroite et balbutiante pour permettre à l'âme de son ami de prendre possession d'un objet environnant. Le temps passa... De longues minutes... Rien. Avait elle échoué ? Refermant le livre, dépitée, elle comptait le ranger parmi les autres quand elle vit la flamme d'une bougie scintiller d'une lueur étrange. Sa flamme n'était pas rouge, jaune, orange comme une flamme classique. Son éclat mystérieux brillait d'un violet intense. La bougie s'anima ! Elle clignait des yeux ! Et elle lui souriait ! Elle se souvint comment elle dégringola les escaliers pour rejoindre sa mère au rez de chaussé et lui présenter son oeuvre, sa victoire sur la mort et la preuve d'une existence d'une vie dans l'au delà. Mais Rosalina eut une toute autre réaction et passa affectueusement sa main dans la chevelure de sa fille. Ce n'était qu'un Pokemon, un Funécire tout ce qu'il y avait de plus normal. Eléonore avait bien évidement l'autorisation de le conserver, à condition d'en prendre soin. Si ça pouvait lui faire penser à autre chose, si ça pouvait combler son vide affectif que d'avoir un pokemon, qu'il en soit ainsi. Déçue par les paroles de sa mère, elle n'en démordit pas. Personne n'y croyait... Sauf elle... Elle avait maintenant son ami à ses côtés, elle n'avait plus peur, elle n'était plus seule physiquement. La vie reprenait son cours.

La demoiselle mûrit encore, et se considérait maintenant assez grande pour ne plus être couvée. Un soir, elle discuta longuement avec sa mère. Il était temps pour elle de quitter le cocon familiale et se lancer sérieusement dans de longues études. Après moult réflexions, Eléonore choisit l'académie basée sur Edenia, une immersion totale dans l'inconnu dans un lieu dont elle ignorait tout. Sa décision était déjà prise, sa valise était déjà prête, et personne ne pouvait l'arrêter. Sa mère ne pouvait que lui souhaiter bonne chance, peut être qu'après tout, ce changement brusque ne pouvait lui faire que du bien, et lui ferait oublier sa nouvelle lobby qui la faisait déjà passer pour un animal de foire...

Mais loin de là était l'idée d'Eléonore. Elle était bien décider à poursuivre ses études dans ce milieu obscur qu'était le paranormal ...

Pokemon

    Espèce : Funécire

    Type(s) : Je vois des gens qui sont morts ... [Eléonore Ambriel] Finit (?) Miniat_type_spectre_7_s Je vois des gens qui sont morts ... [Eléonore Ambriel] Finit (?) Miniat_type_feu_7_s

    Surnom (Facultatif) : Fripouille

    Sexe : Mâle

    Caractère : Fripouille est un trouillard invétéré. Vraiment. Il lui arrive d'avoir peur de sa propre ombre projetée par sa flamme violette. Un bruit un peu trop brusque et hop! Il sursaute. S'il croise un autre Pokemon de type Spectre, il panique et part en courant, enfin en courant... Il court comme il peu, c'est à dire lentement... Il irait plus vite en se laissant rouler surement. Même quand il croise son reflet dans un miroir, il sursaute avant de comprendre que c'est lui même dans la glace ! Une véritable poule mouillée. Mais surtout un goinfre, un ventre sur pattes qui réclame toujours à manger. Comment un spectre peut il avoir un si gros appétit ? C'est simple, si il ne grignote pas une baie ou un biscuit, il mâchouillera la première chose à porté de main : un style, une gomme, un bout de tissus. Il a une confiance aveugle en Eléonore, et craint toutes les autres personnes qu'il peut rencontrer. Il est très timide, craintif, et se laisse difficilement approché par quiconque sauf sa propriétaire. Il ne se bat pas, il s'enfuira plutôt lors d'un duel, ou fera le mort.

    CTs qu'il connaît : 0, il ne veut rien apprendre
     

Et vous maintenant!

Prénom : Licorne !

Âge : 23 ans (RAAAAH PUTAIN JE M'Y FAIT PAS J'SUIS VIEILLE !!!!)

Où avez-vous connu le forum : Recoucou, c'est Kelly !!

Aimez-vous le design ? Si non, pourquoi ? Suggestions pour améliorer le forum ? : Tout baigne dans le gazoil !

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Adonis
Pokémon légendaire
Adonis


Messages : 147
Messages RP : 41
Date d'inscription : 30/04/2019
Age RP : 524

Feuille de personnage
Vos Pokémon Vos Pokémon:
Votre Inventaire Votre Inventaire:
Argent Argent: 4600P$
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MessageSujet: Re: Je vois des gens qui sont morts ... [Eléonore Ambriel] Finit (?)   Je vois des gens qui sont morts ... [Eléonore Ambriel] Finit (?) Icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 2:50

Bienvenue sur le forum, Eléonore !
Une jeune fille capable de voir les esprits... ça fait peur tout ça. C'est assez intéressant de jouer ce genre de personnage et en même temps, je me sens triste pour elle d'être plongée dans un tel monde sans réellement sans rendre compte. J'espère qu'elle saura trouver sa place à Gakuen (et qu'elle ne verra pas trop de fantôme).

Tu es validée ! Il ne te reste plus qu'à remplir ta fiche et ton carnet avant de pouvoir te lancer à l'aventure. Amuse-toi bien o/
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