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| Sujet: Pastel, héroique chien sauvage Mer 28 Aoû 2019 - 20:43 | |
| Votre Pokémon Espèce : Arcanin Surnom : Pastel Âge : Adulte Sexe : ♂ Lieu de naissance : Johto, au sein d'un ranch Talent : Torche Description Physique : Je suis un arcanin, un canidé. Mon épaule dépasse en hauteur la majorité des petits humains du haut de mes deux mètres au garrot. Par rapport au poids d'un humain, mes 160kg paraissent beaucoup. Pourtant, et bien que je sois massif, je ne suis pas lourd. Je suis aussi puissant que sportif et agile. Mon pas et mon port sont majestueux et démontre que je suis dans la fleur de l'âge : encore jeune mais plus un idiot tout juste sortie de l'adolescence. Mes postures, très expressive, trahissent mon passé de militaire et les nombreux combat que j'ai affronté durant ma vie. Mon corps tout entier est utilisé pour communiquer, du simple mouvement des lèvres, à la position de chacun de mes membres en passant par la danse de ma queue. Ma fourrure, très épaisse, me protège de la chaleurs et du froid. Soyeuse, mon compagnon humain adorait s'y blottir. Je possède la particularité d'avoir une tache de fourrure noire au bout de la queue ressemblant à un pinceau. Mes beaux yeux d'ambre peuvent se montrer aussi doux que sauvage. Je suis charismatique, indubitablement mâle, indubitablement sauvage... malgré ce collier autours de mon cou, mon bien le plus précieux. Caractère : Je ne suis ni un ridicule couafarel de salon et encore moins un satané démolosse si redouté. Pourtant... Je suis aussi câlin que je suis sauvage, aussi adorable que dangereux, aussi mignon que prédateur, aussi charismatique que redouté. Mes proies me craignent avec raison, les femelles, qu'elles soient humaines ou pokémon, m'aiment, les dresseurs me regardent avec envie.
Je fus tout d'abord un chien de berger. J'ai appris dans ma jeunesse à conduire et défendre un troupeau de Wattouat et lainergie. Puis j'ai appris ensuite une autre forme d'obeissance et de combat dans l'armée. Je sais obeir, je sais me battre, je sais survivre en milieu hostile. Je n'ai aucune pitié à trancher la gorge d'un humain qui me menace, aucune rancœur à dévorer un jeune fouinette tout juste sorti du terrier pour me nourrir. Je n'ai pas appris les ridicules combats pokemon comme les autres ou l'on fait semblant pour ne pas se blesser. J'ai appris que la moindre blessure pouvait m'être fatale, j'ai appris le danger de la mort, j'ai appris à tuer. Un conseil, n'envoyez jamais vos pokemon se battre contre moi... si vous tenez à leur vie. Car si eux se battent pour jouer, moi je n'hésite pas à tuer pour survivre.
Depuis que j'ai perdu mon ami humain je suis de nouveau sauvage et n'accepte l'autorité d'aucun humain... Si ce n'est peut être certaines filles ou en échange d'un peu de nourriture. J’obéis quand je le souhaite à qui je le souhaite en attendant de me trouver un nouvel humain digne de remplacer celui que j'ai perdu... mais je doute sincèrement d'en trouver un à la hauteur. Ainsi je vis ou je le souhaite. Aussi sauvage qu'un lougaroc mais aussi câlin qu'un évoli, quel paradoxe.
Car en dehors des situations de danger et avec les personnes avec qui je me sens bien je suis une boule de câlins. J'adore que l'on me brosse la fourrure au bord d'un beau lac, que l'on dorme contre moi, que l'on me flatte les épaules, que l'on me gratte derrière les oreilles... La nourriture est précieuse et quand on est sauvage, la quête est presque permanente : je suis donc tout à fait d'accord de faire le beau ou la roulade pour obtenir un bon morceau de viande. Sinon je fouillerai dans les poubelles. J'adore les enfants ! Qu'ils soient humains ou pokemon, je les adores... A condition bien sur que le pokemon en question ne soit pas une proie à mes yeux. Très joueur, je pars facilement à jouer avec une balle, avec les jeunes caninos ou à pourchasser un poisson...
Même si je déteste les bains, ma fourrure sens bon naturellement, j'ai appris à ne pas avoir peur de l'eau. C'est essentiel à l'armée. J'ai donc appris à prendre du plaisir à jouer dans une rivière et n'ai absolument aucune hésitation à plonger dans une piscine. Il me faudra cependant une excellente raison pour me mouiller la fourrure ! Bien que d'un naturel doux et amical, je suis très sauvage et assez facile à faire râler. Un jeune étudiant qui me viderai un verre d'eau sur la tête pourrait se retrouver à devoir éteindre l'incendie de ses cheveux !
Il faut enfin noter mes quelques traumatismes. Je ne supporte tout simplement pas les pokéballs et les laisses ! J'ai une terrible claustrophobie : je ne supporte pas les cages et les salles trop petites ou trop encombrées. Je suis très méfiant envers les inconnus et refuse parfois tout contact. J'ai aussi appris à me méfier de certains mâles humains... Je déteste les aubergines, les motos, les vélos, les skate-bord, les rollers. Je nourris une infinie méfiance envers les rangers et une haine absolue envers la team Dusk. Certains pokemon ne sont à mes yeux que des proies depuis que je suis de nouveau sauvage. Je déteste les démolosse et les couafarel... J'ai en revanche un terrible faible pour les lougaroc et les feunard...
Oh et... Je suis un mâle. Les filles tenez le vous pour dit. Les autres mâles... restez loin des femelles que j'ai choisi ou présentez moi vos fesses en priant pour que je fasse autre chose que de les mordre. Histoire : - Chapitre 1 : Naître et découvrir le monde :
Nuage. Quel doux et chaleureux nuage berçant mes rêves. Je n'ai pas hâte de galoper dans les prairies, je n'ai pas envie de jouer à poursuivre les papillusion. Je veux juste rester la, dormir au sein de mon nuage. Même si je sens les caresses des humains et de mon père. J'ai hâte de faire leur connaissance mais en même temps... je voudrais rester là, dans le ventre de ma mère. Je ne suis pas encore né et pourtant... Je suis déjà aimé. Je m'appelle Pastel. Oh ce ne sont pas mes parents qui m'ont appelés comme ça, je n'avais pas de nom quand mon ami humain m'a rencontré. Ce nom lui est venu comme ça, dès le premier regard posé sur moi et sur la tache de fourrure noire au bout de ma queue lui donnant l'air d'un pinceau. Mais nous n'en sommes pas encore là. Parlons tous d'abord de mes parents. Un couple d'arcanin chargé de la protection d'un ranch au cœur de la région Johto. Ma mère est une championne des concours de beauté et fait chavirer le public en paradant au cœur de sa danse-flamme qu'elle maitrise parfaitement. Mon père est un champion du combat et n'a aucune crainte d'affronter seul une meute entière de grahyèna pour protéger un troupeau. Ils sont tout deux la fierté du ranch, bien au delà des produits de la ferme. Aussi quelle joie lorsque ma mère donna naissance à mes deux sœurs et moi.
J'ai donc grandi au sein d'un ranch aux possessions terrestres immenses ! J'avais à ma disposition des dizaines d'hectares pour découvrir le monde. Combien de fois fus-je disputé par mon papa parce qu'une véritable battue était nécessaire pour me retrouver à la nuit tombée ?... Ils m'ont apprit à conduire un troupeau, à rassembler les bêtes, à l'emmener à l'endroit décidé par l'humain, à les séparer en deux groupes... C'est en observant maman que j'ai appris ma danse-flamme et papa pour ma queue-de-fer. J'ai appris à chasser tout seul. J'ai été si heureux quand j'ai attrapé mon premier ratata que je l'ai ramené à la ferme. La fermière à criée mais je me suis régalé du regard plein de fierté de mon papa. Je fus éduqué avec douceur mais autorité. J'ai appris à obeir et à être libre. J'étais heureux au sein du ranch. J'étais un caninos heureux ! Peins de joie et de vitalité, faisant la fierté de mes parents et nourrissant l'espoir des propriétaires du ranch. - Chapitre 2 : Amitié :
Belle amitié. Toute aussi précieuse que l'amour.C'est en plein cœur de l'hiver qu'il est arrivé. Oh je n'étais pas là naturellement ! Mes sœurs furent heureuses de l'accueillir, de faire les belles, de lui lécher le visage mais moi je n'étais pas là. Il avait neigé durant la nuit et j'étais partie faire le fou dans nos prairies. L'appel de mon père me fit revenir. Sautant avec énergie pour me frayer un chemin dans le manteau blanc, les humains purent me voir arriver de loin. Boule de fourrure couleur de flamme au sein du manteau blanc de l'hiver. Je suis arrivé tout haletant et couvert de neige, l'humain avait fait son choix. Il ne m'avait même pas encore touché et déjà il savait : c'était moi son choix. Il s'agenouilla face à moi et m'expliqua qu'il s’appelait Indiana et que nous serions amis. C'est ainsi que se déroula ma rencontre avec celui qui allait devenir l'être le plus précieux de l'univers à mes yeux. Aussi simplement que cela.
Indiana était un jeune adulte humain qui n'avait pas encore terminé ses études malgré qu'il approchait de la trentaine. Il sortait de l'université, de l'école de médecine avec suffisamment de diplômes pour exercer dans les meilleurs hôpitaux mais avait décidé de ne pas s'arrêter là : il s'était inscrit à l'école de l'armée et avait besoin d'un pokemon : il voulait devenir médecin militaire. C'était un puits de savoir mon Indiana, un humain d'une grande intelligence et d'une générosité sans pareille. Je l'ai rapidement aimé ! Lors de notre premier voyage ensemble, quand nous avons quitté le ranch, il m'a permit de la passer à côté de lui sur le siège passager et m'a même offert la moitié de son repas.
Nous avons passé les premiers jours chez lui, dans sa maison à découvrir sa vie et ses amis. Il m'a présenté à sa famille, comme j'aimais ses parents et grands-parents ! Grand-mère Rosie me rappelais la fermière du ranch, j'aimais me blottir contre elle sur le canapé au coin du feu. Indiana m'emmenait avec lui partout, même quand il allait courtiser des femelles. Même à l'hôpital dans lequel il travaillait en attendant de reprendre l'école il m'emmenait. J'étais toujours en liberté car la première fois qu'il me fit entrer dans ma pokéball, j'en fus tellement contrarié qu'il ne recommença jamais... Comme je l'aimais mon Indiana !
- Chapitre 3 : École et grandir :
Même le plus grand des maîtres commença par souffrir pour apprendre les leçons de la vie... Indiana m'emmena donc avec lui à l'école militaire. Le première jour fut horrible ! Je devais rester assis à côté de lui, rester prêt de lui, ne pas courir partout, ne pas découvrir les lieux. Mais je voulais faire plaisir à Indiana alors j'ai appris. L'obeissance était très différente de celle du ranch : il fallait être parfait. Assis, Couché, Debout, Pas bouger, Saute, Au Pied, j'en ai appris des choses que les autres pokemon n'apprennent pas ! Mon père m'avait enseigné un peu le combat entre pokemon : j'adorais ça, c'était un jeu formidable. Mais ici à l'armée ce n'était plus un jeu. L’entraînement de l'école n'était certes pas si dangereux mais ce n'était pas un jeu. Je n'avais pas un rôle offensif comme la majorité des pokémon présent. J'étais entraîné à défendre Indiana. Dès le premier jour l'instructeur me fit comprendre que nous n'étions pas là pour jouer. J'ai souffert. Alors que les autres pokemon découvrent la joie des combats, moi j'ai découvert la peur et le stress du danger. Les premiers mois furent consacré à la théorie et à l’entraînement au sein de l'école. Tous les jours je devais me battre, tous les jours je devais apprendre à défendre nos vies.
Oh il n'y a pas que des points négatifs ! Il y avait beaucoup d'autres pokemon, beaucoup de canidés comme moi. Je me suis fait des amis... et des amies. En dehors de l’entraînement, quand Indiana était occupé, je passais beaucoup de temps avec mes amis. Je savais que le monde n'était pas rose et sans danger, papa me l'avait montré en repoussant des pokemon sauvages venus attaquer notre troupeau. Ce dont j'étais loin de me douter c'est que les conflits pouvaient éclater entre amis... Notamment pour conserver le regard d'une belle femelle. Je grandissais et était petit à petit confronté au monde réel : ses dangers, ses joies, ses systèmes sociaux complexes... Même si je m'endurcissais, à l'époque j'étais encore une peluche aventurière ! Et puis j'étais avec Indiana, nous étions heureux ensemble.
Un jour nous fûmes appelés pour notre première mission sur le terrain. Cette fois ci finis, on ne faisait plus semblant : le danger était réel ! Nous devions rejoindre une unité en difficulté et l'aider à battre en retraite mais rien ne se passa comme prévu, comme souvent. Durant le temps que nous avons mis à la rejoindre, un soldat fut grièvement blessé et pour la première fois de ma vie j'ai du tuer pour défendre nos vies. Nous avons fuis par la forêt jusqu'à tomber sur une bande d'humains en uniforme. Indiana était blessé lui aussi et je ne les connaissait pas : j'ai donc menacé de ne pas approcher ! Même si Indiana m'expliquait qu'il s'agissait de rangers, je n'avais aucune idée à l'époque de qui ils étaient. Ils ont alors effectués un geste que je n'ai pas compris et je me suis retrouvé forcé à agir comme ils le désiraient ! Ainsi est né ma grande méfiance pour les rangers : alors que mon Indiana avait besoin de moi, qu'il était blessé en zone dangereuse, je me suis retrouvé privé de ma liberté d'agir ! Je déteste les rangers.
- Chapitre 4 : Premières médailles :
La belle source de la vie se transforme en torrent de l'adolescence avant de devenir le calme fleuve de la maturité.Comme mon père aurait été fier de me voir assis à côté d'Indiana alors qu'il recevait ses galons et son affectation le tout dernier jour de l'école ! Comme il aurait été fier de savoir que j'ai reçu les félicitations d'excellence des instructeurs ! Nous avons été déployé souvent Indiana et moi, chaque fois sur des zones dangereuses. Nous avons parcouru le monde entier durant notre carrière. Souvent nous restions au camp la plupart du temps ou je protégeais l'infirmerie pendant qu'Indiana soignait des bobos plus ou moins grave. Nous avons connu quelques crises aussi. Mais la plupart du temps c'était assez calme pour moi. Et puis un jour une véritable grosse crise éclata...
Le camp fut attaqué par une bande rebelle bien décidé à tous nous tuer ! Heureusement Indiana et moi ne dormions pas malgré qu'il soit très tôt : un cuisinier s'était bêtement coupé en préparant le petit déjeuner. C'est ce qui me permis d'entendre un bruit très discret qui n'était pas normal. M'éloignant en direction du bruit, je suis tombé truffe à nez avec un rebelle. Le bruit que je fis en attaquant permit de donner l'alarme. Je fus héroïque parait-il, moi je ne me souviens plus trop. Ce fus terrible, c'est tout ce que je peu affirmer.
Je reçu quelques jours plus tard une médaille d'un général en personne : grâce à moi des dizaines de vies furent sauvées ! Les rebelles étaient venus pour nous tuer dans notre sommeil : attaque silencieuse. Ils auraient pu anéantir le camp entier. J'en ai reçu une autre quelques semaines plus tard. Indiana avait été séparé de son unité. Blessé, isolé en terrain ennemi en plein hiver, c'est moi qui lui ai trouvé une grotte, qui ai chassé pour lui, qui l'ai réchauffé avec mes flammes, qui ai fait fondre de la neige pour qu'il puisse boire en attendant que les secours nous retrouvent.
J'en reçu une troisième quelques mois plus tard. Cette fois ci, des membres d'une société de bandits dont je n'ai pas compris le nom à l'époque se sont introduits dans le camp pour voler quelque chose. Ils ont été repoussés à l'infirmerie avec leur butin et ont prit en otage Indiana et les malades. Moi ? J'ai été assommé, ficelé et muselé. Je ne pouvais pas aider. Quand je me réveillais et grondais en me débattant, j'étais assommé de nouveau. J'étais fou de rage, mon Indiana était couvert de sang et deux de ses malades avaient été exécuté. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé... J'étais à moitié dans le cirage mais ce que je savais c'est qu'Indiana se battait et qu'il allait mourir si je ne faisais rien. Alors les humains ont percutés une table contenant le butin des bandits : des objets me tombèrent dessus comme une avalanche. Une soudaine poussée d'énergie me traversa et avant que je comprenne, j'étais passé de 70 cm à 200 cm, de 20 kg à 160 kg ! Ce fut un véritable carnage. Mais j'ai sauvé tout le monde grâce à cette pierre feu qui me tomba sur la tête par accident et je reçu ma troisième médaille.
- Chapitre 5 : Fidélité :
Temps. Pour chacun d'entre nous il est précieux, grandement limité parce qu'à l'instant ou le présent naît, c'est le futur qui disparaît et se transforme en passé. Le plus beau cadeau qu'un être puisse offrir à un autre c'est du temps. Mettre sa vie en danger pour quelqu'un c'est sacrifier son temps.Un nouveau collier, c'est ce qu'Indiana m'a offert pour mon évolution. Je n'ai pas d'objet plus précieux que ce collier ! Il y a mon nom dessus, mes médailles et c'est un cadeau d'Indiana. Comme je suis fier de le porter. Le chef d'Indiana insista pour que je reprenne l’entraînement : un pokemon nouvellement évolué devait apprendre à contrôler son nouveau corps disait-il. 3 Cts furent achetés par Indiana qui me choisi Dracochoc, Aéropique et Piétisol. Les instructeurs furent encore plus impitoyables qu'à l'école et j'appris à utiliser mes nouvelles attaques d'une manière bien différente des autres pokemon encore une fois.
Heureusement nous avions de nombreuses permissions. Nous rendions souvent visite à la famille d'Indiana. Nous sommes même retourné au Ranch de mes parents. Comme ils furent fier de me voir avec mes médailles ! Je me suis amusé pendant trois jours à conduire le troupeau en duo avec mon père. Indiana m'emmena à la montagne, au bord de l'océan. Chaque fois qu'il m'emmenait avec lui j’attirais tous les regards. Nous avons reçu de nombreux défis pour des combats pokemon mais Indiana a toujours refusé : en tant que militaire j'étais trop dangereux pour les autres. Indiana pu conquérir de nombreuses femelles grâce à mon évolution et un jour il en rencontra une qu'il ne quitta plus. Personnellement j'étais très heureux de flirter et je me découvris un gros faible pour les lougaroc et les feunard...
J'ai vécu de nombreuses choses terribles dans ma vie mais celles qui m'ont offerts mes deux dernières médailles sont mes plus horribles souvenirs. Notre unité, déployé dans un pays étranger, fut envoyé pour une prise d'otage de personnalités très importantes. Indiana était de la mission commando pour soigner les otages si besoin afin qu'ils puissent fuir. Nous avons pu les libérer tout en douceur mais la fuite s'avéra plus compliqué : nous fûmes séparés en plusieurs groupes. Les deux soldats qui accompagnaient Indiana furent tués, notre situation était désespérée. Nous avions un besoin vital d'une diversion mais n'avions personne... En dehors de moi ! Je pris la décision sans hésiter, c'était la seule façon de sauver Indiana. Je fonçais tout simplement en sens inverse. Indiana n'avait pas le choix : il devait sauver les otages ! Je l'entendis fuir en pleurant. Ce fut le plus terrible combat de ma vie. Quand j'ouvris à nouveau les yeux, je me trouvais dans une cage minuscule. J'ai été lâché dans une arène pour me battre à mort contre principalement des démolosse devant un public, j'ai été affamé, torturé. Mais je me battais : Indiana allait venir me sauver. Est-ce que ça a duré des semaines ? Des mois ? Quand il me retrouva, j'étais aux portes de la mort. J'ai passé trois mois dans un centre pokemon pour me remettre et je reçu la plus prestigieuse médaille militaire : celle du héros, celle du sacrifice. Elle s'affiche fièrement sur mon collier, personne ne peut la rater. Je suis un héros militaire et je recevais les honneurs à chaque cérémonie honoré de ma présence. Chaque militaire qui me croise dans la rue me doit le salut et les hommages lorsqu'il remarque cette médaille sur mon collier. Mais la plus terrible épreuve de ma vie était à venir...
- Chapitre 6 : Explosion :
Trésor. Quel plus beau trésor que le rire d'un enfant, de son enfant ?Suite à mon emprisonnement, nous fûmes envoyé sur l'île d'Edenia, Indiana s'y installa avec sa compagne qui y était née. Il fut prêté à la société de l'Aube. Les choses étaient beaucoup plus calme ici. La compagne d'Indiana possédait une feunard superbe, j'en étais éperdument amoureux. C'est à cette époque que ma fille est née... La plus belle caninos que j'ai vu de ma vie ! Shiny, elle faisait naitre l'émerveillement des humains. Oh comme j'étais heureux de me rouler dans l'herbe avec elle, comme j'étais heureux de patauger dans l'eau sous ses yeux dégoutté et l'air amusé de ma compagne. Ce fut l'une des périodes les plus heureuse de ma vie. Mais ma vie explosa... Littéralement.
Un jour, en plein hiver, toute notre famille se trouvait au sein du lieu ou travaillait Indiana, nous étions dans la salle commune en train de plaisanter avec les employés. Ma fille jouait avec une balle que je m'amusais à faire rouler. L'ambiance était fantastique, rires humains et aboiements de joie de mon trésor. Et puis... Tout explosa. La pièce explosa. La faute à un electrode. Ma compagne et celle d'Indiana furent tuées sur le coup. Ma fille fut kidnappée par la Team Dusk, à l'origine de l'attaque. Je ne sais pas ce qu'elle est devenue, est-elle seulement toujours en vie ? Trop sonnés par l'explosion, Indiana et moi n'avons rien pu faire sur l'instant... Ils n'eurent cependant que quelques minutes d'avances sur nous. Mais c'était de la folie : ils étaient plus nombreux que nous et connaissaient le terrain. Indiana et moi avons offert une solide résistance : il y eut plusieurs blessés mais nous avons finalement été capturés. Je fus vaincu par un terrible coup sur la tête. Immobilisé par plusieurs Arbok, je ne pu rien faire d'autres que d'observer mon Indiana subir la torture par le chef de la Team Dusk en personne dont je ne vis jamais le visage ni celui du gradé qui l'aida. Il ne révéla rien mon Indiana. Je me débattis plus fort que jamais quand il fut jeté de la falaise... mais je le suivis aussitôt. J'eus une chance insolente : ma masse les força à user de beaucoup de force. La canopée me ralentie ma chute qui se termina sur un épais buisson à quelques mètres du corps brisé d'Indiana. Il n'était pas mort et me suppliait de continuer à vivre. Je me suis traîné jusqu'à lui et me suis couché sur lui pour lui tenir chaud. Combien de temps suis-je resté là ? Des heures ? Des jours ? Quand Indiana est-il mort ? Ce fut les plus terribles instants ma vie. Je peu encore sentir les larmes des amis d'Indiana couler sur ma fourrure lorsqu'ils se sont mit à plusieurs pour me déplacer et m'emmener en soins.
- Chapitre 7 : Vie sauvage :
Prédateur. Il hait les prédateurs, encore plus lorsqu'il en a un à ses trousses. Il a trouvé ce renfoncement pour se cacher. Il respire trop fort, son cœur fait trop de bruit, son odeur le trahi. Il m'entend utiliser mon flair, il sait que je suis là, pas loin, que je le cherche. Son cœur s'accélère, la peur atteins son apogée. Il a juste le temps de voir sa vie défiler devant ses yeux. Je me rapproche, il arrête de respirer... Je l'ai trouvé.
J'avais tout perdu. Ma compagne. Ma fille. Mon Indiana. Ma vie. Tout. Tout. Tout. Je n'avais plus rien. J'ai passé une quinzaine jours en soins intensifs au centre pokemon. Il fut décidé que l'enterrement d'Indiana aurait lieux lorsque je serais remis de mes blessures physiques. Mais ce sont les blessures mentales qui inquiétaient les médecins. Indiana ne fut pas enterré à Johto mais sur l'île, au sein du caveau familial de sa compagne. Les honneurs militaires lui furent rendus. Ce fut spectaculaire, magnifique. Dans l'église, j'étais assis à côté du cercueil. C'est au cimetière que les humains firent une erreur. J'ai regardé le cercueil de mon meilleur ami disparaître dans le noir. A la fin de la cérémonie, une nouvelle médaille, la cinquième, allait m'être offerte. Un militaire s'approcha de moi et tenta de me passer une laisse. Une laisse ! Il aurait aussi bien pu tenter de me mettre dans ma pokéball que l'on a jamais retrouvé. Je n'ai jamais reçu ma cinquième médaille. Je me suis rebellé : pas question de mettre une laisse ! Ils ont trahis le peu de confiance que je leur ai donné. Ils allaient de nouveau m'emprisonner ! M'attacher quelques part ! Anéanti, perdu, je me suis enfuis.
Ils m'ont cherchés bien sur mais jamais ils ont perdus ma trace. Grâce à mon entraînement et aux apprentissages de ma jeunesse au sein du ranch, vivre à l'état sauvage est possible pour moi contrairement à beaucoup de pokemon vivant avec les humains. Je sais traquer, je sais chasser, je sais tuer, je sais me nourrir, je sais me défendre, je sais me trouver un abri, je sais survivre. Chaque jour était un combat et je ne sais pas combien de temps je tiendrai. Seul. Loin de tous.
Voilà des mois que je vis dans les forêts et les montagnes. . Je tiendrai ma promesse, je respecterai le souhait de mon Indiana : je resterai en vie. Mais la situation finis par ce compliquer et la solitude par me peser. J'ai bien cru ne pas survivre au dernier ouragan. Alors je me suis approché de cette école. J'ai besoin d'être proche des humains pour survivre. Le temps à passé, ma peine a diminué. Je tiendrai ma promesse, je respecterai le souhait de mon Indiana, je resterai en vie. Particularités : Porte un solide collier en cuir. Sur ce collier est incrusté une plaque en or au sein de laquelle est gravé son nom en lettre verte. Quatre médailles militaire se trouvent de chaque côté de la plaque. L'une d'entre elle représente l'une des plus haute récompense de l'armée : celle du sacrifice pour son humain. Tache de fourrure noir au bout de la queue. CTs : Dracochoc, Aéropique, Piétisol Attaques par reproduction : Danse flamme, Queue de fer Et vous, maintenant !
Prénom : Pastel
Âge : 27
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