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 Dahlila Khadidja

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MessageSujet: Dahlila Khadidja   Dahlila Khadidja Icon_minitimeDim 22 Mar 2020 - 11:35

Dahlila Khadidja
Prénom. Dahlila
Nom. Khadidja
Naissance. 14 Février 2003
Âge. 17 ans
Sexe. Femme
Région d'origine.  Volucité (Unys)
Avatar. Roa (Onoe Ren)
Rang. Chercheuse
Communication. Motismart

Chambre
Chambre. 4ème étage

Description. Une chambre d’étudiant sobre et classique, mis à part les livres bien rangés dans une bibliothèque, un peu de matériel scientifique sur une table à part, avec quelques feuilles par-ci par-là, et un ordinateur portable sur le bureau, avec d’autres documents et encore du matériel de bureau.
Physique
Au détour d’un croisement, une jeune fille frêle, à la silhouette svelte. Peu de forme animent ce corps à la peau albâtre, et les quelques existantes sont souvent masquées sous les vêtements amples et épais qu’elle porte. Son style vestimentaire n’est pas très défini, la dernière fois, elle portait une jupe et une chemise. Aujourd’hui, un simple short avec une veste noire et blanche, ample et sans formes. Son regard rubis, souvent perdu dans le vague, exprime une fatigue chronique, et déforme la forme naturelle ronde de ses prunelles. Difficile de discerner toute la subtilité de ses yeux, partiellement masqués par ces fils d’argents, naturelle, dépourvue de pigments.

Son nom ? Dahlila. Dahlila Khadidja. Cette jeune fille de dix-sept ans est née albinos. Son regard fatigué, elle le doit à la lecture, aux activités nocturnes auxquelles elle s’adonne, mais surtout, à une vision médiocre, dû à sa maladie. Quant à ses cheveux, blancs ou argentés selon les avis, ils sont fins, et la font ressembler à un ange. Un peu muette, peu expressive dans son quotidien, mais un ange tout de même. Dahlila n’aime que peu sortir, et ne fait pas beaucoup de sport, sa silhouette en pâtit lourdement, elle s’essouffle rapidement, elle se fatigue à une vitesse phénoménale.

Niveau style vestimentaire, c’est vraiment le bordel, autant le dire. Dahlila n’a pas de style particulier, même si elle affectionne le noir et le blanc, elle porte aussi des couleurs, souvent sombres. Vêtements amples, vêtements près du corps, rien ne change. Jupe, pantalon, short, tee-shirt, débardeur, chemise, pull, veste… Tout y passe. Pas de bijoux indispensables, hormis un pendentif, une pierre rouge, semblable à un rubis, un octaèdre, tantôt porté en collier, tantôt en boucle d’oreille unique. Souvenir de sa mère, jamais Dahlila ne saurait s’en séparer définitivement. Pour une journée, cela peut s’arranger… Mais jamais trop loin.
Caractère
Niveau physique, c’est pas le top. Mais quant aux tâches mentales, Dahlila est une vraie championne. Elle lit vite, elle comprend vite, elle réfléchit beaucoup. Bien plus que ça, elle adore clairement se prendre la tête sur des énigmes pendant des heures. Outre le côté intellectuel, Dahlila adore les jeux vidéos, et la musique. Les bons films aussi. Autant dire que je viens de vous expliquer l’origine de ces magnifiques cernes sous ses yeux. Le cursus chercheur résume très bien la mentalité et la vie de Dahlila. Mais si vous pensez que par cette apparence d’ange et son attitude si studieuse en cours, Dahlila est ce qu’elle paraît être, vous vous trompez lourdement.

Dahlila adore sortir, faire la fête, s’amuser, manger, boire, et autre. En somme, c’est une bonne vivante, et quand on la connaît bien, on a toujours l’impression de connaître deux personnes à la fois. Si un cours l’ennuie, elle ne va pas hésiter à le montrer : ne pas écouter, faire autre chose, dormir… Parfois même se faire lourdement remarquer pour déranger le cours… Et ce que Dahlila fait en cours, Dahlila le fait aussi aux autres. Vous la faites chier ? Préparez-vous, vous risquez de vivre un enfer. Au contraire, vous lui plaisez ? Aïe. Elle risque d’être vraiment lourde avec vous, ce sera aussi un enfer, mais autrement. Imprévisible Dahlila, un peu opposée parfois, mais quand on l’apprivoise, la louve se transforme en doux agneau.
Histoire
Le soleil se couche sur la vile de Flocombe. Le sol est couvert d’un épais manteau blanc, à l'image du nom de la ville. Jour exceptionnel en cet été, il faut le dire. Quant à la date… Il suffit de regarder par les fenêtres, dans les magasins, pour deviner que ce n’est pas un jour anodin.

En ce 14 février 2003, un couple, Jonathan et Estelle, aussi heureux puisse-t-il être, dîne en tête à tête dans une petite maison modeste, mais au confort incomparable. Si, à ce moment, ils pensaient être parfaitement comblés et imaginaient déjà leur vie à trois, grâce à un petit être grandissant à l’intérieur de cette magnifique jeune femme de vingt cinq ans, ils ne pouvaient s’attendre, ni l’un, ni l’autre, à recevoir si tôt le fruit de leurs entrailles, de leur amour.

L’heure du dîner venait à peine de sonner. Le couple se mit à table, au coin du feu, devant un précieux et splendide repas, prêt à passer une soirée calme et reposante, rien que tous les deux, lovés dans leur amour réciproque et éternel. Seulement, ce n’était pas l’avis de tout le monde.

D’abord, Estelle se sentit nauséeuse. Puis vint la première contraction, comme un coup de tonnerre soudain, dans une étendue calme et apaisante. Sa réaction fut instinctive, rapide. Elle essaya de se lever, mais se ravisa bien vite. Jonathan se rua vers la jeune femme, future mère. Le temps était venu, mes chers amis, vous ne pouviez plus fuir le présent ni l’avenir. La seconde contraction arriva bien assez vite, aussi surprenant cela puisse être. Le couple eut à peine le temps d’arriver à l’hôpital. Pas d’attente ce soit pour toi, Estelle. Plus de recours non plus pour toi, Jonathan. Vous aviez pris le problème bien assez vite, vous vous étiez préparés, mais aucun de vous ne s’attendait à ce que cela arrive enfin. Estelle ne te serait rendue que le lendemain matin, Jonathan. Mais cela ne t’empêcha pas de dormir là où elle était, à la fois épuisé et stressé de ce qui t’arrivait.

Le lendemain, lorsqu’enfin se profilait le 15 février, Estelle et Jonathan purent retourner chez eux. Mais leur sourire si radieux n’était plus. Entre doute et inquiétude, quelques brides de joie se lisait, mais difficilement. Quel était le problème, pour un si heureux et beau couple, désormais en ménage à trois ? Un problème qu’aucun d’eux n’aurait pu anticiper. Vous comprendrez bien assez tôt. Pour l’heure, le doute s’effaça au fil des jours, au fil des instants passés avec la petite nouvelle née, Dahlila. Le bonheur revenait doucement, et se mélanger à une inquiétude tapis dans l’ombre, l’inquiétude d’un avenir, d’une vie.

Reprenons une petite année plus tard. Cela suffira à vous expliquer la racine du problème que rencontrait cette magnifique et heureuse famille. La petite Dahlila déambulait dans la maison avec une assurance certaine, et un sourire aussi radieux que le soleil. Cependant voilà. Alors que papa et maman possédaient des prunelles respectivement bleues et jais, la petite n’avait que du rubis dans les yeux… Et ses cheveux argentés, presque blancs comme neige, trahissait ce qui inquiétait tant les parents. Dahlila, frappée par le malheureux hasard de la génétique, était atteinte d’albinisme. Non pas une forme sévère et cruelle, mais assez importante pour la rendre différente des autres enfants. Sa vue n’était pas exceptionnelle, elle devrait faire attention, mais son physique… Personne ne pouvait le changer. La peau albâtre, les yeux rouge sang, les cheveux immaculés… Elle ne passerait jamais inaperçue. Et pour une première, personne ne pouvait nier que c’était difficile pour les parents. Dahlila était chérie, choyée et aimée du plus profond du cœur de ses parents, mais aussi de ses grands-parents, surtout sa grand-mère. Elle n’avait rien à envier aux autres, rien à désirer, rien à redouter… Hormis le regard des autres…

Vers ses trois ans, Dahlila commença à être scolarisée, à vivre un peu dehors, à observer les autres. Et les premiers doutes naquirent dans son cœur encore pur.

« Dis maman, pourquoi les autres enfants, ils ont les cheveux colorés ? »
« Maman, pourquoi ils me regardent méchant ? Qu’est-ce que j’ai ? »
« Papa, pourquoi je suis différente ? »
« Papa… Pourquoi je suis seule… ? »

Tant de questions que jamais on ne te donnera de réponse, Dahlila. Une simple embrassade, une accolade, parfois des larmes et des excuses. Tout simplement, ma chère, parce qu’il n’y avait pas de réponse à donner à une enfant de trois ans, qui savait désormais pourquoi. Pourquoi Papa et Maman t’aimaient tant, pourquoi ils redoutaient ce jour. Tu étais jeune, innocente, le monde s’offrait à toi, mais le reste te refusait obstinément. Ils n’étaient pas méchants, les autres enfants, mais tout le monde a besoin d’un bouc émissaire, et la seule différence que tu représentais, Dahlila, leur suffisait amplement. Tu étais devenue l’agneau faiblard, la petite brebis égarée, celle que personne ne veut, que tout le monde offre volontiers à une mort certaine. Tu allais être seule, recroquevillée sur ta propre existence, sur toi et uniquement toi. Ta vie ne t’appartenait qu’à toi, c’était tout. Tu avais la chance de pouvoir vivre uniquement pour ce que tu désirais, sans avoir à estimer les bonnes et les mauvaises actions pour garder de fausses bonnes grâces… Quelle chance tu avais, non ? … Tu voulais simplement des amis, n’est-ce pas… ? C’est pour ça que tu ne comprenais pas ta différence… ? Tu n’avais que trois ans, après tout. Tu étais une enfant normale, avec un malheureux hasard.

Autant dire que la vie de Dahlila n’était pas très mouvementée, je pourrais vous raconter les aléas de sa vie, de ses trois ans jusqu’à ses douze ans, mais cela ne tiendrait qu’en quelques phrases, encore et toujours la même chose, la même rengaine. L’amour de sa famille pouvait palier à son isolement social, mais pas pour très longtemps. Dahlila voulait avoir la vie que d’autres avaient, mais dans une petite ville où tout le monde connaissait les autres, et avec cette différence ancrée dans leurs petits cerveaux, impossible de changer l’avis qu’avaient les autres enfants sur l’albinos. Et c’est ainsi que la décision tomba, alors que Estelle attendait un second enfant.

En 2015, la petite famille décida de déménager, de Flocombe, elle passa à Volucité. De petite ville à métropole immense, hyper-centre, tout allait changer. Bien plus de monde, bien plus de différences. Bien plus de potentiels amis, pour Dahlila. Hélas, il était déjà trop tard. La petite de douze ans désormais s’était enfermée dans les études, la lecture, les loisirs solitaires, bien que quelques jeux vidéos en ligne lui donnaient l’impression d’être « quelqu’un d’autre ». Là au moins, l’albinisme était aussi extravagant et rare que les cheveux roses, verts, ou bleus… Et autant dire que c’était monnaie courante dans le numérique. Alors l’idée de sortir, de se faire des « amis » ne lui plaisait pas plus que ça.

Ce fut sa scolarisation qui changea un peu sa mentalité. Au début, en tant qu’élève transférée, elle attirait les regards. Sa différence, si redoutée par d’autres, étaient le point d’intérêt de beaucoup ici. A d’abord lui demander si c’était volontaire, une coloration, des lentilles, pour se rendre intéressante, Dahlila ne répondait que par un léger non, et baissait la tête. Elle s’attendait à des représailles, des remarques, des brimades. Pourtant, elle s’y connaissait sur le sujet, elle avait cherché pourquoi elle était comme ça, quelle différence elle avait, pourquoi elle. Elle aurait pu tout leur expliquer, pour démystifier sa maladie. … Elle n’en eu pas besoin. La troupe se dissipa un peu autour d’elle, les quelques restants étaient fascinés.

« C’est naturel ? »
« C’est trop cool ! On dirait un ange ! »
« C’est trop beau, t’es exceptionnelle ! »

D’abord, l’albinos baissa la tête. Puis elle rougit. Elle ne comprenait pas ce qui lui valait tant d’attention, elle n’arrivait pas à savoir ce qui était différent, par rapport à Flocombe. L’âge définissait beaucoup, la culture aussi. Alors, quand elle marmonna que c’était une « maladie », les autres enfants ne savaient pas quoi dire. Pour eux, une maladie était négative, elle était contraignante, mauvaise. Là, ils ne voyaient qu’une différence, une excentricité qui méritait d’être montrée, presque une beauté. La verbalisation de ces pensées multiples, de ce que Dahlila avait toujours voulu entendre, raviva un peu la foi de la jeune en l’humanité. Aurait-elle des amis, enfin ? Une vie normale ? Hélas, là où fascination il y a, jalousie n’est jamais loin. Un groupe de filles se mit en tête de martyriser Dahlila, qui était devenu un centre indéniable de la classe. Différente, intelligente, belle et sympathique, elle avait l’apparence d’un ange autant que la personnalité qui allait avec. Bref, Dahlila avait enfin un semblant de vie normale. Sa personnalité changea, elle passa d’introverti à extravertie, elle sortait, passait du temps avec ses amis, elle jouait, elle respirait, elle vivait, enfin.

Là où Dahlila aurait pu vivre une véritable rébellion et s’isoler il y a quelques mois, aujourd’hui, elle s’en fichait. En effet, elle avait désormais une petite sœur Adèle, aussi normale que le commun des mortels, à la chevelure brune comme son père, et les yeux aussi bleus que ceux de sa mère. Voilà à quoi Dahlila aurait pu ressembler, si la génétique n’avait pas été contre elle. Aujourd’hui, Dahlila ne voyait en Adèle qu’une parfaite copie de ses parents, d’une beauté sans pareil, la normalité là où l’absurde avait frappé ses parents, rien de plus. Elle était un peu sa complémentarité, sa moitié, la moitié d’un tout que qu’elles formaient. Non, elle ne lui en voulait absolument pas.

Seize ans. Dahlila savait ce qu’elle voulait faire de sa vie. Parcours savant, chercheuse, elle voulait continuer un cursus scientifique qui l’avait passionné pendant longtemps. Hélas, Unys ne possédait aucune scolarité digne de l’albinos. Son seul répit résidait dans une petite île au large de Sinnoh : Edenia. Là, c’est là qu’elle voulait aller, même si cela signifiait abandonner tout ce qu’elle avait. Argumenter était son fort, et ses parents ne purent faire face à la conviction qu’elle avait. Seul détail, ils ne voulaient pas la laisser partir seule. Et par seule, ils entendaient que son compagnon serait un pokémon. Et bien sûr, cela constituait aussi une épreuve, pour prouver sa conviction.

Quelques semaines avant son départ, les parents de Dahlila l’emmenèrent dans un parc où chacun pouvait offrir une seconde chance à des pokémons abandonnés ou trouvés errants dans la région. Là, Dahlila trouvé un petit Toxizap. Un peu rebelle, complètement taré et irrespectueux, qui s’amusait à frapper les autres pokémons. Elle savait qu’il ne venait pas d’Unys, mais d’une région bien différente, Galar. De type électrique et poison, ce pokémon lui plaisait étrangement. Munie d’une unique pokéball que ses parents lui avaient donné pour cet heureux élu, Dahlila allait devoir ruser pour attraper ce petit chenapan.

On lui expliqua d’abord que ce bébé pokémon n’avait pas été trouvé ni abandonné à son état actuel, mais à l’état d’œuf. Il avait toujours connu cette petite réserve, et sans accroche maternelle, il était devenu une véritable tornade, sans foi ni loi. Eh bien. Tu aurais du mal à l’apprivoiser, ce petit Toxizap. Mais cela ne te fit pas peur. D’abord, tu te jetas à corps perdu sur lui. Echec critique, tu te retrouvas face au sol, et il se moquait ouvertement de toi. S’en suivi une poursuite, perdue d’avance, avec le bébé, assez rapide et malin pour son jeune âge. Ta stratégie était toute trouvée, mais tu ne savais pas qui de lui ou toi allait céder le premier : la fatigue. Tu allais le faire courir, grimper, crier partout pour l’épuiser, et une fois qu’il serait calme, tu l’attraperais. Une demi-heure passa. Tu réussis à l’attraper, mais il te lâcha une décharge lorsque tu le touchas. Putain. Il s’enfuit. Tu recommenças à le poursuivre. Et enfin… Une heure et demi plus tard, complètement essoufflée, tu le trouvas, au pied d’un arbre, roulé en boule, en train de s’endormir. Tu en profitas, hésitant un instant d’abord, pour l’attraper. Ce n’était qu’un bébé, et il te promettait bien des emmerdes, mais qu’importe. Au fond, il ne voulait qu’un partenaire de jeu, quelqu’un pour jouer, quelqu’un à qui s’attacher. Sa place n’était pas ici, pas avec tant de pokémons et isolé, comme tu l’avais été à Flocombe. Avec toi, il serait seul, tu pourrais t’occuper de lui. Tu remplis les quelques papiers « d’adoption » de ce pokémon, puis tu rentras préparer tes affaires.

Le jour J était arrivé bien plus vite que tu ne l’aurais voulu. Tu n’avais pas eu le temps de bien apprivoiser Salem, le petit Toxizap, mais tu devais déjà partir pour Edenia. Le voyage en bateau serait long et éprouvant, avec ce petit malpoli rebelle à tes côtés, mais c’était le début d’une longue promesse d’un avenir meilleur, d’une vie comme tu le voulais. Chercheuse pokémon, hein ? Tu savais déjà où tu voulais aller, ce que tu voulais faire. Et avec cette certitude, tout te semblait plus simple et plus réaliste, peu importe les obstacles. Ton seul souvenir auquel tu pouvais te rattacher était ce petit pendentif, que ta mère t'avait offert. Véritable héritable de famille, ce rubis taillé était la seule chose auquel tu pouvais réellement te rattacher, pour te souvenir de ta famille, de tes origines. Lorsque tu serais triste, tu pourrais l'observer et te souvenir pourquoi tu étais partie...
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Dernière édition par Dahlila Khadidja le Mar 24 Mar 2020 - 22:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Dahlila Khadidja   Dahlila Khadidja Icon_minitimeMar 24 Mar 2020 - 1:10

Re-bienvenue du coup ! Dahlila Khadidja 3378695097
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MessageSujet: Re: Dahlila Khadidja   Dahlila Khadidja Icon_minitimeMar 24 Mar 2020 - 22:52

C'est bon, tu es validée, ange de la nuit de Gakuen Pokémon !

Tu connais la chanson, fiche, carnet, machin truc, pas besoin de tout te refaire. Re-re-re... ? bienvenue !
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